Le
réseau dénommé Hac-Hackers basé aux Etats-Unis depuis 2005 et ayant plus de 500
collaborateurs installés un peu partout à travers le monde, a lancé un projet drone
journalisme visant à apporter de nouveaux services la profession journalistique.
Ce projet que ces hackers entendent
mettre sur pied va permettre aux rédactions de s’approvisionner en images sur certaines manifestations et événements filmés en temps réel à partir d’un drone équipé de caméras automatiques.
Ainsi plusieurs manifestations
sur les places publiques et autres événements à l’image des catastrophes
naturelles seront filmés par ces drones
à l’intérieur desquels sont incorporées des caméras sophistiquées.
Selon ces techniciens, ces
nouveaux dispositifs techniques vont permettre de filmer non seulement des
images de bonne qualité mais également dans un minimum de temps. Pour l’instant,
des essais sont en train d’être expérimentés des équipes basées aux USA et en France afin d’évaluer le niveau d’avancement
du projet.
Selon ces hackers, l’objectif
de ce nouvel outil technique est d’avoir plus de précision sur le nombre des
manifestants sur les places publiques sans pourtant occulter le gain de temps
et la qualité des informations.
Par ailleurs, les hackers
expliquent qu’au-delà de l’aspect militaire, les drones peuvent rendre de
nombreux services à l’humanité. Ils peuvent intervenir dans le système de
santé, dans le génie civil, dans l’identification et le repérage des personnes
en situation difficiles lors des catastrophes naturelles et éventuellement les
secourir.
Cependant, un flou juridique
total règne autour de la législation devant régir de nouveau système de
communication qui s’avère non négligeable par sa puissance et ses capacités de
collecte de données de toutes sortes. C’est d’ailleurs pourquoi, le responsable
français des drones a insisté sur le bien fondé de la mise en place d’une
législation efficace pour réglementer ce nouvel espace. Selon lui, seule la
législation pourra déterminer qui doit être filmé ou pas par un journaliste
conduisant un drone dans l’espace. Puis que, assure-t-il, que dans ces espaces
publics, il y a tout un ensemble de données à caractère personnel et d’ordre
privé qu’il faudra tenir compte.
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