lundi 8 avril 2013

Le drone journalisme : Un nouvel outil au service des journalistes ?


Le réseau dénommé Hac-Hackers basé aux Etats-Unis depuis 2005 et ayant plus de 500 collaborateurs  installés un peu partout  à travers le monde, a lancé un projet drone journalisme visant à apporter de nouveaux services la profession journalistique.
Ce projet que ces hackers entendent mettre sur pied va permettre aux rédactions de s’approvisionner en images  sur certaines manifestations et événements filmés en temps réel à partir d’un drone équipé de caméras automatiques.
Ainsi plusieurs manifestations sur les places publiques et autres événements à l’image des catastrophes naturelles seront filmés  par ces drones à l’intérieur desquels sont incorporées des caméras sophistiquées.
Selon ces techniciens, ces nouveaux dispositifs techniques vont permettre de filmer non seulement des images de bonne qualité mais également dans un minimum de temps. Pour l’instant, des essais sont en train d’être expérimentés des équipes basées aux USA  et en France afin d’évaluer le niveau d’avancement du projet.
Selon ces hackers, l’objectif de ce nouvel outil technique est d’avoir plus de précision sur le nombre des manifestants sur les places publiques sans pourtant occulter le gain de temps et la qualité des informations.
Par ailleurs, les hackers expliquent qu’au-delà de l’aspect militaire, les drones peuvent rendre de nombreux services à l’humanité. Ils peuvent intervenir dans le système de santé, dans le génie civil, dans l’identification et le repérage des personnes en situation difficiles lors des catastrophes naturelles et éventuellement les secourir.
Cependant, un flou juridique total règne autour de la législation devant régir de nouveau système de communication qui s’avère non négligeable par sa puissance et ses capacités de collecte de données de toutes sortes. C’est d’ailleurs pourquoi, le responsable français des drones a insisté sur le bien fondé de la mise en place d’une législation efficace pour réglementer ce nouvel espace. Selon lui, seule la législation pourra déterminer qui doit être filmé ou pas par un journaliste conduisant un drone dans l’espace. Puis que, assure-t-il, que dans ces espaces publics, il y a tout un ensemble de données à caractère personnel et d’ordre privé qu’il faudra tenir compte.



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