jeudi 2 mai 2013

Gros plan sur les impressions d'un test et les passions pour un métier.

Les candidats au concours de présélection
pour la session 2013-2014.
Les candidats au concours d'entrée au Cesti pour la session 2013/2014 ont effectué ce samedi 20 avril dans l'après-midi leur test de préselection à l'Ucad II. A leur sortie de la salle, nous avons recueilli les propos de quelques uns parmi eux sur leurs impressions et les motivations qui les ont poussés à postuler pour ce concours qui suscite tant d'engouement et d'intérêt aux yeux des étudiants.
                                         Décryptage.
                                        1)- Les optimistes
"J'attendis des questions beaucoup plus difficiles. J'ai toujours voulu faire le concours du Cesti. Et c'est ma deuxième tentative.", nous a déclaré Dramé Sérigne MBAYE.
" Les épreuves étaient abordables pour quelqu'un qui sait l'actualité. Tout ce qui touche l'information m'intéresse. C'est dans cette perspective que j'ai vue ma chance avec le concours du Cesti.", affirme cette nouvelle bachelière du nom de Sény DIOUF.
"Je ne m'attendais pas à ces genres de questions. C'étaient abordables. J'ai toujours rêvé de devenir journaliste. Au début, mon père ne voulait pas", nous a dit Hannette Niasse.
"Les épreuves étaient abordables. J'ai toujours rêvé de devenir journaliste depuis le collège. J'aime les reportages", nous a laissé entendre Pape Souleymane Diagne.
"Des épreuves beaucoup plus abordables. Je m'étais même pas préparé mais je me suis bien débrouillé. J'ai une passion pour l'écriture et comme les médias et la culture vont de pair, alors je rêve de devenir un journaliste, avoir une formation professionnelle", souligne Souleymane Badji.
"Les épreuves étaient abordables. Le journalisme c'est un rêve d'enfance et je crois avoir les aptitudes", soutient pour sa part Anouchka BA.
                                            Les sceptiques.
"C'est abordable, sauf que l'actualité sportive, je n'ai rien fait.", reconnnait Ndaye Marame, étudiante en Lettres Modernes. "C'est un peu difficiles. Certains étudiants n'ont pas écouté les informations. Mais je suis confiante", tambourine Meissa FALL, étudiante en 1ère année Droit. "On ne s'attendais pas du tout à ça. Mais j'espère". déclare Mame Diarra Ngom. "Dans l'ensemble, c'était abordable. Les épreuves étaient à notre portée. Ce que je déplore c'est l’interdiction de la rature. Quand on sait surtout qu'aucun être n'est pas. Je suis optimiste et j'attends les résultats avec pieds serrés", a soutenu Aliou Seydi, étudiant au departement anglais.
"C'était moyennement abordable. Depuis tout jeune, j'ai rêvé de devenir journaliste. Tout métier a un prix. Le fait d'informer les gens est un acte noble certes, mais nous ne sommes pas à l'abri", a laissé entendre M. cissé. "Les épreuves étaient abordables. Mais le nombre de questions a augmenté par rapport aux années précédentes. Ceux qui ont suivi l'actualité n'ont pas de difficultés. J'adore ce métier, c'est ma vocation. Raison pour laquelle j'ai décidé de faire le concours. Je suis confiante parce que j'ai répondu à l'essentiel.", nous confie Ndaye Marame.
"Les épreuves étaient abordables. Avec un peu d'effort, le coup est gagné. J'aime le journalisme." explique Adama BA.
"Les épreuves étaient difficles. Je veux devenir journaliste parce que c'est un métier qui me plait depuis toute petite", a soutenu Fame Sy Mbaye. "Abordables dans l'ensemble parce que la plus part des questions aux quelles je m'attendais sont venues. Le journalisme a toujours été une vocation pour moi." nous affirmE Cheikh Alpha.
"Les épreuves étaient un peu difficiles. je suis juste venue pour participer", a dit Aissatou Diallo.

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