mardi 21 mai 2013

CESTI: l'idéologie bolivarienne, un modèle chaviste.

L'ambassadeur du Venezuela au Sénégal et sa compatriote l'honorable Carmen, députée à l'Assemblée nationale venezuelienne ont échangé ce vendredi à la Case Foyer du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) avec les étudiants sur la  révolution au Venezuela, les liens historiques  de ce pays de l'Amérique Latine ainsi que la pensée bolivarienne en général.
Historienne, philosophe, députée et en même temps coordonnatrice du réseau international des intellectuels, philosophes et artistes pour la défense de l'Humanité Mme Carmen, cette dame triple casquette a d'abord, dans son introduction, indiqué que son pays est souvent très mal présenté. Car selon elle, ceux qui détiennent les grands moyens de communication"sont contre ce pays". Et d'ajouter que l'Afrique a un lien historique avec le Venezuela. Lequel lien est selon elle, inconnu du grand public."Il y a un grand mouvement de descendants africains au Venezuela", a-t-elle déclaré.
Par ailleurs, cette historienne n'est pas restée sans rappeler les discriminations dont été victimes les Africains et les Indiens et d'ajouter que c'est grâce à la fameuse Constitution de 1999, élaborée par le défunt Président Chavez que les droits de ces peuples y ont été consacrés et reconnus. Tout au long de son exposé, Mme la députée est largement revenue sur les mérites du Président Chavez, ses positions anti-américaines et impérialistes ainsi que les plans sociaux et projets par ce révolutionnaire à l'abnégation sans précédent.
Selon Mme Carmen, la pensée bolivarienne doit être l'alternative au capitalisme qu'elle reconnaît elle-même avoir conquis des larges contrées à travers le monde."La capacité de destruction du capitalisme est plus grande que sa capacité de construction", a-t-elle estimé. Elle invite tous les peuples qui estiment avoir été victimes du capitalisme à s'unir et de s'inspirer au socialisme bolivarien du XXsiècle qu'ils schématiseront en fonction des réalités de leurs propres pays.
"Le devenir du monde dépendra de ce que l'Afrique et l'Amérique Latine feront dans les années à venir", a-t-elle conclu. C'est par l'inscription de certains participants sur une liste pour une éventuelle adhésion au réseau international de philosophes, des intellectuels et artistes ainsi qu'une séance de questions-réponses et de distribution des s

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